Le Cabaret monstrueux (d'une classe pas ordinaire)

Coordonnées du collège Collège affecté : Collège Gérard Philipe Ville : AULNAY-SOUS-BOIS Classe : 5ème

Coordonnées de la structure Nom de la structure : Théâtre et cinéma Jacques Prévert-d'Aulnay-sous-bois

Coordonnées de la personne ressource Identité : Madame Chloé Sergent

1. Articulation avec un processus de création :

Le parcours a un lien avec la création / le projet scientifique en cours ou à venir

Projets en cours ou à venir de l'intervenant.e menant le parcours

• Mathilde a plusieurs projets en cours en tant que comédienne : "Fin (faim)" de Théophile Dubus– pièce sur la monstruosité, les ogres.ses, la place des enfants dans la société, forme de cabaret "DDDD" de Pascale Daniel-Lacombe (CDN de Poitiers, T2G, CDN Thionville, CDN Lorient) – pièce suédoise souvent résumée comme une « comédie polaire » où chaque personnage est enfermé dans ses problèmes existentiels mais où tout le monde se retrouve pris dans un même fait divers : la mort, par balle, d’un chien. Celui qui s’en alla, de Lisa Guez – pièce écrite comme un conte contemporain, sur la manipulation, l’emprise, inspirée du conte des frères Grimm « Celui qui s’en alla apprendre la peur » et des Démons de Dostoïevski Mais également un projet en tant que porteuse de projet (mise en scène collective – comédienne) : Icônes – Enquête théâtrale sur notre rapport singulier aux icônes médiatiques du monde contemporain (sportif.ves, artistes, politicien.nes) – forme performative entre théâtre et radio, entre documentaire sonore et scènes inventées, entre récit conté et chansons en live.

Articulation du parcours avec ces projets

• Travail de découverte des thématiques présentes dans Fin (faim), spectacle que les élèves iront voir au théâtre cette saison, à travers des textes dérivés du spectacle et écrits par d’autres élèves lors d’un atelier mené par l’auteur et metteur en scène : Théophile Dubus. Travail de jeu - en lien avec ce que nous, acteur.ices, avons pu travailler à l’occasion de la création de Fin (faim) Mise en scène et travail de direction de jeu des élèves, à partir des textes découverts, et en vue d’une représentation publique.

2. Construction du parcours (pendant le temps scolaire et avec une classe donnée)

Résumé en 4 lignes du parcours (thématique, contenu et objectifs du projet)

• Ce parcours interrogera les élèves sur l'intention qu'on donne à un texte et la manière dont on l'interprète et le met en scène. Pour cela, ils s'appuieront sur l'univers de Théophile Dubus fait de monstres et de paillettes. A travers les différentes étapes du parcours, les élèves vont créer leur propre cabaret monstrueux et s’interroger sur le monde qui les entoure.

Accompagnement des enseignant.es

Co-construction du parcours avec les équipes pédagogiques : méthodologie (préparation, groupe de travail, présentation des intervenant.es, ressources mises à disposition des professeur.e.s)

• •Sullivan Vue, professeur de français, et Fanny Malterre, professeure de théâtre, ont déjà pris connaissance du contenu du travail mené par Théophile Dubus auprès du jeune public ainsi que de son texte "Fin (Faim)" qui leur a été envoyé par le théâtre. Ils ont prévu de préparer leur travail interdisciplinaire dans ses détails dès qu’ils auront rencontré l’intervenante. Chloé Sergent, responsable des relations avec les publics au théâtre Jacques Prévert, se charge de faire le lien entre l’intervenante et les enseignants. Pour cela, une réunion préparatoire est organisée à la rentrée, pour s'assurer que le déroulé et les objectifs du projet sont les mêmes pour tout le monde. C'est également l'occasion de déterminer ensemble le calendrier de travail.

L’intervenant.e a t-il.elle déjà mené un parcours CAC ou AGORA lors des éditions précédentes ? Si oui, précisez dans quel collège, la ville et ce qui motive le renouvellement de sa candidature.

• La compagnie Feu un rat ! a déjà mené des parcours CAC, mais ce n'est pas le cas de Mathilde Panis qui fait partie de la distribution du spectacle "Fin (Faim)". Elle sera accompagnée par Théophile Dubus pour encadrer et déterminer le contenu des ateliers. Elle est elle-même très intéressée par ce format de parcours culturel qu'elle trouve très enrichissant pour elle et pour les élèves. Hormis les CAC, elle a déjà mené plusieurs ateliers (courts ou longs, allant même jusqu’à un travail régulier avec une classe de seconde sur toute une année scolaire) en lien avec d’autres spectacles dans lesquels elle jouait. Elle a pu, à ces occasions-là, travailler aussi bien avec des collégien.nes que des lycéen.nes.

L'atelier construit et encadré par l'artiste / le scientifique se déroule sur une durée d'environ 20 heures

Les ateliers (environ 20h) doivent être détaillés et le nombre d’heures, pour chacun d’eux, indiqué

• - 1x2h : 1ère séance de recherches dramaturgiques autour de la monstruosité animée par Théophile Dubus. L'occasion de parler de son métier d'écrivain et metteur en scène en s'appuyant sur son sujet de prédilection. Une séance qui permet également d'amorcer le travail autour du jeu. - 8x2h : Nous allons concentrer le travail sur la pratique et le jeu théâtral séances animées par Mathilde Panis. Afin de pouvoir consacrer la majorité des ateliers à cela tout en pouvant produire un « spectacle » pour la restitution, nous partirons d’un travail d’écriture qui avait été effectué par Théophile Dubus avec des enfants de Charmont-sous-Barbuise : « Nos ogres et nos ogresses » que les 5ème pourront retravailler. Il s’agit de courtes pièces un peu folles et bizarres, écrites par une classe de CM2 en parallèle du spectacle « Fin (faim) ». A partir de ce travail les élèves pourront travailler le jeu et notamment le jeu à la table. La continuité dans ces différents projets semble tout à fait pertinent, et permettra aux élèves de se réapproprier le texte tout en partant de quelque chose de préexistant. -1x3h répétition générale au théâtre : les élèves viennent au théâtre pour la conduite et travailler en temps réel dans des conditions professionnelles (équipe de régisseurs techniques mis à disposition). Au delà de répéter pour la restitution, cela permet aux élèves de se "confronter" à la salle et porter leur voix. - 1x1h représentation devant les familles des élèves et le corps enseignant du collège.

Les sorties développent et mettent en perspective l'univers artistique / culturel de l'artiste / du scientifique et sa pratique

Les sorties (environ 10 heures) sont en lien direct avec le projet et permettent d’enrichir le contenu. Elles développent et mettent en perspective l’univers professionnel de l’intervenant.e et sa pratique.

• -Date à définir : une première proposition artistique sera programmée hors les murs directement en classe : "Les contes à choix multiples" avec Théophile Dubus. Il s'agit d'une petite forme qui permettra d'introduire de manière artistique le parcours et donner un premier aperçu de l'univers de l'artiste. -12 mars 2025 les élèves viendront voir le spectacle "J’étais parti-e, pardon (vers un autre univers)" qui sera programmé à Prévert. Il s'agit du projet soutenu par le département dans le cadre du dispositif Ecriture et création théâtrale jeunesse en Seine-Saint-Denis. Ce spectacle est écrit par Théophile Dubus et mis en scène par la compagnie Mind the Gap. Cela permettra de découvrir le travail de l'artiste sur différents projets tout au long de la saison. -23 mai les élèves viendront voir le spectacle "Fin (Faim)" programmé à Prévert. Il s'agit du spectacle sur lequel nous allons nous appuyer pour le travail d'atelier. Il est écrit et mis en scène par Théophile Dubus. Mathilde Panis, l'intervenante principale pour les ateliers, joue également dans le spectacle. Raison pour laquelle nous avons orienté les ateliers vers le jeu, puisque Mathilde pourra lier avec sa propre expérience notamment dans ce spectacle. Date à définir : une dernière sortie sera programmée dans un autre lieu culturel en concertation avec l'intervenante, l'enseignante et Prévert. Celle-ci sera en lien avec la thématique et la forme théâtrale abordée dans le projet. Cela permet de faire découvrir un autre lieu aux élèves et de les ouvrir encore davantage à la culture. Ces différentes sorties seront encadrées par leurs enseignants mais aussi l'intervenante et la coordinatrice de Prévert. Cela permet de créer de la cohérence et une continuité dans ce qui est abordé par les différents interlocuteurs travaillant sur le parcours.

L'analyse critique permet d'expliciter la démarche de l'artiste / du scientifique et le sens du projet

Les temps de réflexion / débats sont animés par les intervenant.e.s et les enseignant.e.s. Ils permettent aux élèves de développer leurs connaissances et d’approfondir une thématique. Ils offrent un espace de débat et de réflexivité sur le projet en cours. Des intervenant.e.s ponctuel.le.s peuvent également animer certaines séances.

• -Pour commencer, la coordinatrice présentera le parcours : objectifs et déroulé. C'est l'occasion de rappeler en quoi consiste un parcours CAC mais aussi quel est le rôle de chacun et notamment celui de la structure culturelle. -Un premier temps en classe sera proposé avec Théophile Dubus afin d'introduire artistiquement le projet : "Les contes à choisir". Une manière de présenter le travail de la compagnie et créer du lien avec les interventions de Mathilde Panis qui travaille en étroite collaboration avec Théophile Dubus. -Des échanges en début et fin de chaque atelier mais aussi à la suite des sorties seront prévus par les différents intervenants dans l'idée de toujours rattacher les élèves au projet et qu'ils comprennent le cheminement et la démarche. Ces moments d'échanges permettent également de prendre en compte leurs retours et ressenti pour permettre de réajuster si besoin les propositions et contenu des interventions. Au delà de l'objet théâtral, le parcours a pour sujet : Comment vivre (et grandir) dans un monde qui va très mal ? Sujet même du spectacle "Fin (Faim)", qui fait le lien avec le programme scolaire du professeur de français. Bien sûr nous veillerons à interroger leur propre expérience et ferons appel à leur sens critique et capacité d'analyse sur la question. -Pour finir, un temps d'échange sera également organisé à la suite de la restitution pour passer en revue le travail mené durant la totalité du parcours

La restitution, temps de cloture du projet

Un temps de restitution/valorisation et un temps de clôture/bilan du parcours permettent de mettre en partage le travail mené et d'encourager la réflexivité.

• • Le parcours sera clôturé par la restitution des élèves sous forme de représentation théâtrale devant les familles et le corps enseignant. Elle aura lieu au théâtre et cinéma Jacques Prévert au mois de mai. Nous recréerons des conditions professionnelles avec répétition avec une équipe technique en journée et représentation le soir dans une salle équipée d’une régie.

Implication active des collégien.nes dans le processus (dimensions participative et inclusive)

Dimensions participative et inclusive (contenu du parcours et méthodologie)

• Les élèves auront un rôle actif tout au long du parcours et ce dès le début en démarrant avec "Les contes à choisir" proposé par Théophile Dubus : A l’aide d’un canevas prédéfini (adapté à chaque fois au lieu où la représentation a lieu), la personne raconte une histoire dans laquelle, très régulièrement, elle interroge le public sur la suite des événements : une spectatrice va choisir le nom de l’héroïne ; un spectateur va piocher dans la boîte un jouet qui figurera un nouveau personnage ; une autre spectatrice décidera s’il faut prendre le chemin de droite ou le sentier de gauche … De choix en choix, l’histoire s’improvise et s’invente collectivement jusqu’à devenir complètement unique.. Une proposition originale et participative qui permettra aux élèves de s'ouvrir très rapidement aux intervenants et à ce qu'ils vont leur proposer par la suite. En effet, les ateliers de jeu et la conception de la mise en scène leur permettront de faire des choix artistiques. La restitution leur permettra d'avoir un objectif et une exigence afin de valoriser leur travail.

Prise en compte de l’égalité Femmes-Hommes au sein du parcours (sous quelle forme, avec quels outils… ?)

La thématique de l'égalité femmes-hommes est-elle abordée au sein du parcours? De quelle(s) façon(s) la méthodologie de travail permet-elle de prendre en compte les enjeux de l'égalité femmes-hommes ?

• L'identité de la compagnie se prête à aborder ces questions d'égalités entre femmes et hommes. Les inspirations et influences des textes dépassent même la question du genre. Que ça soit les hommes ou les femmes, chacun incarne plusieurs personnages, qu'importe leur genre, et chacun se revêt de paillette et de leur meilleur costume de cabaret. De fait, les élèves se prêteront également au jeu.

Intégration de mesures liées à la transition écologique

Avez-vous mis en place, dans votre structure ou dans la mise en œuvre de vos projets des mesures spécifiques liées à la transition écologique ? Et comptez-vous mettre en place des mesures spécifiques dans le cadre du parcours déposé ?.

• • Le théâtre et cinéma Jacques Prévert a à cœur cette question et sensibilise par le biais de différents projets (exemple : parcours de sensibilisation autour de la pollution des océans auprès de plusieurs classes). D’une manière générale la structure réfléchie afin de diminuer l’utilisation de déchet plastique pour la cafétéria lors de l’accueil des publics mais aussi l’accueil des artistes lors des catering (fontaine à eau, vaisselle réutilisable), la diminution de la consommation de papier etc. Au niveau du projet, il n’y a pas de mesures spécifiques misent en place dans le cadre de la transition écologique.

Implication active de la famille dans le parcours

Les parents sont conviés à un temps de présentation et / ou aux temps forts du parcours (sorties, restitution…).

• • Les parents seront invités à assister à la représentation de "Fin (Faim)" au théâtre et cinéma Jacques Prévert. Une manière d'impliquer les familles dans le parcours de leur enfant, en vue de la restitution en fin de parcours à laquelle ils seront conviés et qui aura également lieu au théâtre. Ils pourront ainsi découvrir l'univers de la compagnie mais aussi découvrir le lieu culturel si ce n'est pas encore le cas.

Le parcours propose des modalités innovantes visant à favoriser l’implication et la participation des familles.

• Les objectifs et les étapes du parcours seront communiqués auprès des parents. Notamment en développant une communication et une médiation autour du spectacle "Fin (Faim)". Le théâtre communique également auprès du tout public les actions de médiation liées au spectacle. Cela permet également de valoriser le travail des élèves et montrer leur implication au sein de notre projet culturel.

3. Co-construction du parcours

Liens avec les différentes entrées du projet d'établissement et notamment de son volet culturel ou de son volet lié à la citoyenneté. Les axes du projet d’établissement auxquels il est fait référence sont explicités et le parcours a pour ambition de s'ouvrir à l'ensemble de l'établissement (rencontres avec d'autres classes, liens avec d'autres projets, chantiers d'étape ...).

• Le projet s’appuie sur l’axe 3 du projet d’établissement : « Développer la coopération avec les partenaires extérieurs », en particulier « Favoriser l’ouverture culturelle par le partenariat et les échanges avec des associations culturelles et artistiques ». Ce partenariat avec le théâtre Jacques Prévert permettra de faire découvrir aux élèves une activité artistique, le théâtre, à travers son histoire, ses différentes formes, mais aussi à travers l’univers propre à Théophile Dubus, d’en montrer la richesse par la fréquentation d’œuvres (sorties) et la pratique du plateau. « L’éducation à la citoyenneté » est aussi un axe important du projet d'établissement et sera au centre des relations dans le groupe à travers les thèmes abordés : Les univers parallèles, la monstruosité, les cauchemars, le vrai et le faux, et à travers ces thèmes les questions existentielles telles que : à quoi rime notre monde ? Comment le changer ? Comment y grandir ? Comment s’y construire ? On peut imaginer qu’à travers leurs recherches dramaturgiques sur les monstres (fictifs et historiques…), leur travail de lecture, de réécriture à partir des textes « Nos ogres et nos ogresses » puis de jeu à la table, les élèves mèneront une réelle réflexion sur les faiblesses et les enjeux de notre société. « La maîtrise de la langue », axe essentiel également, sera au cœur même du projet à travers le travail théâtral, la lecture à voix haute, la réécriture, la mise en pratique par le jeu à la table et le format du cabaret : cela permettra aux élèves de se sentir plus à l’aise dans la prise de parole en public. Le parcours de cet atelier prendra particulièrement en compte ces dimensions en mettant au cœur des finalités une grande attention à l'expression de chaque élève. Le projet entre également dans l’axe 1 : « Accroître les performances de l’établissement », car il permet de « favoriser la diversification pédagogique » en s’appuyant sur des « pratiques interdisciplinaires » : Les professeurs de théâtre et de français pourront mener un travail parallèle sur les textes servant de base au projet et ceux que les élèves auront créés : découverte, explication et analyse, lecture à voix haute, réécriture, jeu à la table, cabaret.

L’Espace Numérique de Travail du collège, est-il utilisé pour faciliter l’organisation du projet et/ou comme support de communication et de valorisation ?

• Des photos des répétitions et des retours sur les sorties aux spectacles pourront être mis en ligne sur l'Espace Numérique de Travail du collège. Nous pourrons aussi y déposer les textes à partir desquels nous allons travailler et ceux que nous aurons écrits. Nous informerons également la communauté éducative de la date de notre restitution.

Les enseignant.es souhaitent-ils.elles s’investir dans les médias départementaux pour rendre compte des expériences et productions des élèves ?

• NON

Liens du parcours avec les enseignements, les objectifs pédagogiques (par discipline)

• Ce projet s’adresse à une classe de 5ème. Il s’inscrit dans le programme de français du cycle 4 à travers les deux thèmes suivants : 1) Se chercher, se construire ; le voyage et l’aventure, pourquoi aller vers l’inconnu ? 2) Regarder le monde, inventer des mondes, imaginer des univers nouveaux. Le professeur de français pourra proposer aux élèves des extraits de récits d’aventures et d’expériences des XIX, XX et XXIème siècles, au programme de 5ème, dans le but d'acquérir une culture littéraire, de prendre conscience de la diversité des manières d’appréhender le monde et des façons de vivre l’aventure, l’adolescence et de se construire à travers elles. Ils s’approprieront la connaissance de personnages particuliers (Tom Sawyer, Vendredi…) auxquels ils pourront facilement s’identifier. Un parallèle pourra ainsi être opéré avec les personnages des textes proposés par Théophile Dubus. A travers tous ces personnages, nous pourrons alors réfléchir à la question de l’adolescence, au fait de grandir ici ou ailleurs dans le monde à la fois diversifié et difficile d’aujourd’hui… Après avoir étudier les écrits, il s’agira d’exprimer ce qui nous fait peur, quels monstres nous hantent et d’inventer un univers parallèle où il serait plus facile de grandir, plus agréable à vivre… ou au contraire, un monde encore plus dévasté et plus noir que le nôtre… ou encore, les solutions qui pourrait le sauver ! Un travail d’écriture pourra être mené et se compléter dans les deux disciplines. Les prises de notes sur des improvisations jouées à la table pourront être mises au propres et affinées en français. Ce projet répond à deux domaines artistiques « les arts du spectacle vivant », les « arts du langage » et à plusieurs objectifs : développer la curiosité et favoriser la créativité de l’élève notamment en lien avec une pratique artistique. Il s’inscrit dans le socle commun de compétences, de connaissances et de culture : en particulier dans le domaine 1 « les langages pour penser et communiquer » et le domaine 3 « La formation de la personne et du citoyen ». Ce projet répond aux entrées du socle commun : l’acquisition de la réflexion et du discernement ainsi que l’acquisition du sens des responsabilités, de l’engagement et de l’initiative.