Département de la Seine-Saint-Denis | La Culture et l'Art au Collège
Edition | Année parcours : 2024
Informations sur le parcours à la date du : 21/11/2024
Peintures noires
Coordonnées du collège
- Collège affecté : Collège Joséphine Baker
- Ville : SAINT-OUEN
- Classe : autre
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Coordonnées de la structure
- Nom de la structure : F93
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Coordonnées de la personne ressource
- Identité : Madame Camille Balaudé
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1. Articulation avec un processus de création :
Le parcours a un lien avec la création / le projet scientifique en cours ou à venir
Projets en cours ou à venir de l'intervenant.e menant le parcours
- Laëtitia Demay est docteure en Préhistoire. Lauréate de la Bourse de recherche « Prince Rainier III de Monaco » : paléontologie, paléoanthropologie et préhistoire sont travail porte sur les relations entre les groupes humains et le monde animal au cours de la dernière glaciation, en Europe et particulièrement en Europe orientale. Son projet a pour objectif de reconstituer les modes de vie des populations nomades du Paléolithique à partir des données issues des restes animaux en contexte archéologique, en s’appuyant sur les méthodes de l’archéozoologie. Actuellement ATER au Muséum national d’Histoire naturelle de Paris au sein du département Homme & Environnement où elle poursuit ses recherches et enseigne auprès des étudiants. Responsable scientifique au sein de l’ensemble des collections de Préhistoire du Muséum national d’Histoire naturelle : Faunes actuelles et fossiles. Depuis une dizaine d’année elle participe à de nombreuses activités de médiation auprès du grand public : Musée de Préhistoire d’Ile-de-France,, archeosites (Les Bossats, La Haute-Ile, Parc des Hautes-Bruyères), Fête de la Science, Journées de l’Archéologie, Journées européennes du Patrimoine…
Articulation du parcours avec ces projets
- Dans le cadre du projet « A propos des cavernes » Laëtitia souhaite proposer aux élèves de la classe d’aborder les méthodes utilisées en archéologie pour reconstituer les modes de vie des populations humaines préhistoriques. Tels des détectives (ou elle proposera au groupe d’analyser plus particulièrement les représentations pariétales et la gestion des ressources utilisées à cette fin. Totémisme, proto-écriture, rituel magique ou simplement, représentation du beau pour le beau… Il va s’agir de comprendre la manière dont les groupes humains représentaient le monde et particulièrement le monde animal qui les entourait.
Plus largement l’idée de Laetitia est d’ouvrir le dialogue : discuter des « clichés » : des « images » qui existent sur la préhistoire pour les déconstruire. Permettre aux élèves de comprendre ce dont il est question quand on parle de préhistoire en archéologie. Évoquer en connexion l’utilisation par les archéologues de techniques pour dater l’art pariétal et l’art rupestre (comment date-on l’art pariétal et rupestre ? Est-ce que c’est toujours possible ?). à travers des exemples concrets de grottes et abri-sous-roche ; comprendre comment les surfaces des grottes ou des abri-sous-roche ont été utilisées Enfin il s’agira pour Laetitia de voir avec les élèves que l’art préhistorique est une source d’inspiration pour des artistes aujourd’hui, que certains peintres ou certains sculpteurs s’inspirent des motifs que l’on retrouve dans les grottes ornées du paléolithique.
2. Construction du parcours (pendant le temps scolaire et avec une classe donnée)
Résumé en 4 lignes du parcours (thématique, contenu et objectifs du projet)
- Afin de lever le(s) mystère(s) de l’art des grottes, le groupe, accompagné par une archéologue, s’approchera au plus près de l’art du paléolithique. Tels des détectives, il va s’agir pour eux d’étudier, dans ces sites, les vestiges conservés afin de retracer toutes les actions, tous les gestes opérés par les artistes pour faire de la grotte un espace de représentation
Accompagnement des enseignant.es
Co-construction du parcours avec les équipes pédagogiques : méthodologie (préparation, groupe de travail, présentation des intervenant.es, ressources mises à disposition des professeur.e.s)
- La co-construction du parcours avec l’équipe éducative, l’intervenante et le chargé de projets F93 se fera en amont mais aussi tout au long des séances. Rencontre avant le début du parcours pour élaborer un déroulé en fonction des thèmes, des spécificités du travail de recherche de l’intervenante, des attentes pédagogiques des enseignants et des attendus du projet. Ces rencontres seront également l’occasion de réfléchir aux supports les plus pertinents à utiliser lors des séances pour permettre aux élèves du dispositif Ulis de s’approprier au mieux les enjeux du projet. L’ensemble sera ensuite adapté au fur et à mesure du parcours lors des points réguliers qui seront faits à l’issue de chaque étape. Enfin, l’ensemble des supports, mais aussi des suggestions faites par chacun pour enrichir le parcours, sera disponible dans un Padlet créé par le chargé de projets pour faciliter la communication et le partage des ressources entre les enseignants et l’intervenante.
L’intervenant.e a t-il.elle déjà mené un parcours CAC ou AGORA lors des éditions précédentes ? Si oui, précisez dans quel collège, la ville et ce qui motive le renouvellement de sa candidature.
- Laëtitia Demay a mené cette année le parcours « A propos des cavernes » au collège Auguste Delaune de Bobigny . À la suite de cette première collaboration particulièrement réussie avec des élèves Ulis, nous proposons le renouvellement de sa candidature avec les élèves du dispositif Ulis du collège Baker.
L'atelier construit et encadré par l'artiste / le scientifique se déroule sur une durée d'environ 20 heures
Les ateliers (environ 20h) doivent être détaillés et le nombre d’heures, pour chacun d’eux, indiqué
- Art pariétal ? (4H)
Après avoir sondé les représentations de la classe sur la préhistoire, l’intervenant montre aux collégiens comment on étudie des vestiges archéologiques. A l’échelle d’une grotte ornée, on relèvera notamment les points de concentration artistique, les correspondances stylistiques, les caractéristiques du support. A l’issue de cette entrée en matière, avec l’aide de textes et d’images le chercheur présentera certains sites remarquables (Lascaux, Chauvet...)
Terrain (10H)
Le groupe découvre « son terrain d’étude » : la grotte d'Arcy-sur-Cure, avec son bestiaire, qu’il va s’agir d’observer et d’analyser. Encadrée par l’intervenant, la classe groupe se prépare à la journée d’étude. Sur place, répartis en groupes, les élèves collectent, notent, analysent une série d’information qu’il va s’agir de comprendre. De retour au collège, la phase de traitement s’amorce : Comment ces représentations ont-elles été choisies ? Comment ont-elles été réalisées et pourquoi ? Quelle en est l’importance pour les sociétés préhistoriques ? Et que révèlent ces témoignages sur la vie des populations de l’époque ? Les premières réponses formulées seront confrontées aux données recueillies sur d’autres sites.
Expérimenter pour comprendre (6H)
L’expérimentation permettra aux élèves de se mettre « dans la peau des artistes préhistoriques ». Lors de cette 3ème phase, les collégiens devront tenter de reproduire une partie de la grotte ornée, en empruntant certaines techniques utilisées à l’époque (gravures, pigments mélangés avec de l'eau, réflexion sur les formes et les reliefs…) . Cette troisième phase permettra d’affiner les savoirs, en se confrontant aux problèmes concrets. Enfin vient le moment de synthétiser la démarche de recherche dans son ensemble pour permettre de partager les connaissances acquises par la classe.
Les sorties développent et mettent en perspective l'univers artistique / culturel de l'artiste / du scientifique et sa pratique
Les sorties (environ 10 heures) sont en lien direct avec le projet et permettent d’enrichir le contenu. Elles développent et mettent en perspective l’univers professionnel de l’intervenant.e et sa pratique.
- Trois sorties seront organisées pendant le parcours afin d’une part de visiter des lieux patrimoniaux en rapport avec la thématique abordée dans l’atelier et d’autre part de faire découvrir aux élèves un site remarquable le site d’Arcy-sur-Cure.
- La classe découvre les collections du Musée de l’Homme qui comptent parmi les plus importantes au monde dans les domaines de la Préhistoire et de l’Anthropologie. Avec pour objectif de comprendre l’humain et la place qu’il occupe dans le vivant, de raconter ses origines et de questionner nos marges d’adaptation dans le monde de demain.
- Avec la visite du Service départemental d’archéologie/ bureau du patrimoine le groupe découvre La richesse archéologique de la Seine-Saint-Denis restée longtemps méconnue.
- Grottes d’Arcy-sur-Cure (sortie / terrain) : les élèves découvrent ce lieu qui abrite les plus anciennes peintures rupestres originales encore accessibles en France
L'analyse critique permet d'expliciter la démarche de l'artiste / du scientifique et le sens du projet
Les temps de réflexion / débats sont animés par les intervenant.e.s et les enseignant.e.s. Ils permettent aux élèves de développer leurs connaissances et d’approfondir une thématique. Ils offrent un espace de débat et de réflexivité sur le projet en cours. Des intervenant.e.s ponctuel.le.s peuvent également animer certaines séances.
- L’intervenante, la classe, les enseignants et le chargé de projets F93 se retrouvent à l’issue de la première séance au cours de laquelle l’intervenant a présenté à la classe des exemples remarquables de l’art pariétal. Ensemble ils présentent à la classe la démarche générale du projet et explicitent la répartition des rôles de chacun au sein de celui-ci. Chacun montre à la classe ce que sa propre expérience et expertise peut apporter à l’autre. Ils rappellent également que la démarche proposée est une démarche qui vise à accroître la connaissance historique de ce qu’était l’existence d’une grotte ornée dans une perspective ouverte mais rigoureuse. D’autre part un temps de concertation est prévu à l’issue de la journée de terrain sur le site d’Arcy sur Cure, lors duquel l’intervenante, le chargé de projet, l’enseignante et les élèves s’arrêtent pour évaluer l’évolution du projet et s’assurer que les objectifs sont clairs pour les élèves : Est-ce que les correspondances entre le terrain étudié et les connaissances en archéologie dispensées en classe paraissent logiques pour les élèves ou méritent-elles d’être retravaillées. En plus de faire un bilan du travail en cours, ce moment permet aussi une projection de la restitution pour mieux la construire, déterminer les rôles de chacun, la matière à rassembler, garder, générer…
La restitution, temps de cloture du projet
Un temps de restitution/valorisation et un temps de clôture/bilan du parcours permettent de mettre en partage le travail mené et d'encourager la réflexivité.
- Un temps de clôture sera organisé au sein du collège, il s’articulera autour de 2 axes :
une petite publication, sorte d’état des lieux de la recherche de la classe, sera édité par F93 et distribué à la communauté éducative. Lors d’une journée de clôture, les élèves ayant participé au projet inviteront leurs camarades d’autres classes et leurs parents à la reproduction de peintures et techniques qui ont été abordées pendant l’année. Un fac-similé de grotte sera installé et recouvert petit à petit par les participants, de formes, de mains positives, de traces de doigts permettant à tous de partager l’expérience
Implication active des collégien.nes dans le processus (dimensions participative et inclusive)
Dimensions participative et inclusive (contenu du parcours et méthodologie)
- Le parcours « Peintures noires » est pensé sur le mode participatif puisqu’il implique un engagement actif des élèves à chacune de ses étapes. L’idée est d’abord d’ouvrir le dialogue sur la question de l’archéologie préhistorique. C’est le regard des élèves sur l’art pariétal qui orientera en partie la nature du parcours. Les séances du projet reposeront sur les contributions actives de chacun et chacune des élèves de la classe. C’est ce regard, guidé par l’intervenante et l’enseignante, qui sera recherché tout au long du processus de projet. Sans cette implication active du groupe dans la définition du parcours, ses contours, et ses modalités de mises en œuvre, la nature même de l’exercice aurait peu de sens.
Prise en compte de l’égalité Femmes-Hommes au sein du parcours (sous quelle forme, avec quels outils… ?)
La thématique de l'égalité femmes-hommes est-elle abordée au sein du parcours? De quelle(s) façon(s) la méthodologie de travail permet-elle de prendre en compte les enjeux de l'égalité femmes-hommes ?
- La thématique de l’égalité Femmes-Hommes, sera abordée dans le projet sous deux angles au moins. Tout d’abord, il s’agira de montrer que l’héritage des représentations établies au début de l'étude de la préhistoire, dans un XIXe siècle encore très puritain, et fortement empreint de sexisme scientifique sont fausses. En effet aucune preuve n'existerait pour justifier que les sociétés préhistoriques aient cultivé un antécédant sexiste. Grâce aux outils de recherche et des moyens d'investigation archéologiques on s'aperçoit que l'homme n'était pas forcément au centre de tout. D’autre part et plus largement les intervenantes, les enseignants et le chargé de projets F93 veilleront à rappeler l’importance de l’égal accès des hommes et des femmes aux carrières universitaires où les femmes restent sous-représentées.
Intégration de mesures liées à la transition écologique
Avez-vous mis en place, dans votre structure ou dans la mise en œuvre de vos projets des mesures spécifiques liées à la transition écologique ? Et comptez-vous mettre en place des mesures spécifiques dans le cadre du parcours déposé ?.
- F93 a mis en place depuis plusieurs années un certain nombre de mesures spécifiques liées à la transition écologique. L’équipe est invitée à réguler sa consommation en énergie en limitant le chauffage des bureaux à 19°C (et en limitant l’usage de la climatisation aux situations exceptionnelles de grandes chaleurs l’été). Les lumières et les ordinateurs sont par ailleurs systématiquement éteints quand ils ne sont pas utilisés. Le tri des déchets a par ailleurs été mis en place. Une sensibilisation aux bonnes pratiques numériques a également été menée afin de ne pas stocker ou envoyer des documents trop lourds et l’utilisation de l’ENT et des supports numériques sont privilégiés à l’impression de documents papiers quand cela n’est pas un frein pour l’apprentissage des élèves. Dans la mesure du possible, les sorties proposés aux classes s’effectuent en transports en commun, Les déplacements de l’équipe se font la grande majorité du temps en transports en commun, sauf quand ce n’est pas possible pour des raisons logistiques et/ou de planning. Dans le cadre des projets que nous menons, notamment lors des restitutions, nous privilégions le réemploi de matériaux que nous avons déjà utilisés et qui sont en réserve ou que nous trouvons dans les stocks des établissements. Enfin, nous intégrons dans notre programmation des projets consacrés à la transition écologique, que ce soit leur thème principal (deux cette année) ou l’une de leurs thématiques secondaires."
Implication active de la famille dans le parcours
Les parents sont conviés à un temps de présentation et / ou aux temps forts du parcours (sorties, restitution…).
- Lors de la réunion parents-professeurs du premier trimestre une présentation du projet, conçue par F93, est mise en place afin de présenter aux parents le thème du projet, l’intervenant, les sorties qui seront menées par leurs enfants et les conditions de la restitution finale.
Le parcours propose des modalités innovantes visant à favoriser l’implication et la participation des familles.
- Après la première rencontre avec l’intervenante, les élèves sont invités à recueillir les expériences que leurs familles ont du lieu étudié afin d’enrichir leur imaginaire. A l’issue de l’atelier, les parents sont également conviés à participer à la restitution.
3. Co-construction du parcours
Liens avec les différentes entrées du projet d'établissement et notamment de son volet culturel ou de son volet lié à la citoyenneté. Les axes du projet d’établissement auxquels il est fait référence sont explicités et le parcours a pour ambition de s'ouvrir à l'ensemble de l'établissement (rencontres avec d'autres classes, liens avec d'autres projets, chantiers d'étape ...).
- « Un collège lieu de construction de la citoyenneté, respect de la loi et de valeurs communes : solidarité, tolérance, sens civique ». Le parcours proposé par F93 viendra répondre aux attentes de ce volet du projet d’établissement du collège Baker en cela qu’il repose sur une véritable immersion dans une pratique de recherche. La démarche viendra aiguiser la curiosité des collégiens et leur permettra de découvrir tout un vocabulaire et des formes de discours qui leur fera travailler oralité et écriture (compte rendu d’atelier, rencontre avec les chercheurs, écriture des textes de la restitution) « Un collège qui donne envie aux élèves de se cultiver, de s’ouvrir à l’autre et de se dépasser » par la découverte des œuvres picturales, par la pratique de l’archéologie L’intervenante insistera tout au long de l’atelier sur la prise en compte de la dimension socio-culturelle d’un site lorsque l’on travaille en archéologie. Les élèves découvriront un grand nombre d’exemples de sites en France mais aussi et surtout dans le monde. Ils apprendront à s’ouvrir sur des pratiques culturelles diverses, parfois surprenantes, et seront amenés, en retour à questionner leurs propres univers sociaux-culturels. Enfin Les visites auxquelles les élèves participeront et les spectacles auxquels ils assisteront leur permettra de s’approprier les lieux de culture de leur environnement plus ou moins proche.
L’Espace Numérique de Travail du collège, est-il utilisé pour faciliter l’organisation du projet et/ou comme support de communication et de valorisation ?
- L'espace numérique de travail sera utilisé comme un centre de ressources archéologiques virtuel. En amont, le chargé de projets et l'enseignant créent une page dédiée intitulée « Peintures noires», accessible à tous les élèves et à l'équipe enseignante. Un grand nombre de données y sont transféré au fur et à mesure du parcours : hypothèse de départ, relevé pariétal, plan de déchiffrement des parois, photographies, relevés dessinés… Durant chaque séance en classe, les élèves se réfèrent à ces documents de travail et y ajoutent leurs commentaires. Après chaque visite, les élèves téléchargent à leur tour photographies et vidéos, notes, mesures et conclusions. À l'issue du parcours, chaque classe a à sa disposition toutes les ressources nécessaires pour mettre au point la restitution.
Les enseignant.es souhaitent-ils.elles s’investir dans les médias départementaux pour rendre compte des expériences et productions des élèves ?
Liens du parcours avec les enseignements, les objectifs pédagogiques (par discipline)
- Le parcours “A propos des cavernes”, offre de nombreux liens avec les cycles 3 et 4 d’enseignement notamment celui d’Histoire :
• Tout d’abord avec la compétence : “Se repérer dans le temps : construire des repères historiques” : - ordonner des faits les uns par rapport aux autres et les situer dans une époque où une période donnée ; - manipuler et réinvestir le repère historique dans différents contextes. Domaines du socle 1, 2, 3.
• Le parcours permet également aux élèves d’aborder concrètement la compétence “Comprendre un document” : - identifier le document et savoir pourquoi il doit être identifié ; - extraire des informations pertinentes pour répondre à une question ; - savoir que le document exprime un point de vue, identifier et questionner le sens implicite d’un document ; - confronter un document à ce qu’on peut connaître par ailleurs du sujet étudié; - utiliser ses connaissances pour expliciter, expliquer le document et exercer son esprit critique. Domaines du socle : 1, 2.
• Surtout, le parcours mettra les élèves en situation de chercheurs quand ils devront “Raisonner, justifier une démarche et les choix effectués” : - poser des questions, se poser des questions ; - formuler des hypothèses ; - vérifier ; - justifier ; - s’exprimer à l’oral pour penser, communiquer et échanger. Domaines du socle 1, 2, 5
• Enfin, tout au long du parcours les élèves seront amenés à : “Coopérer et mutualiser” : - organiser son travail dans le cadre d’un groupe pour élaborer une tâche commune et/ou une production collective et mettre à la disposition des autres ses compétences et ses connaissances ; - discuter, expliquer, confronter ses représentations, argumenter pour défendre ses choix ; - négocier une solution commune si une production collective est demandée. Domaines du socle 2, 3.
En Arts plastiques : - apprendre les différentes catégories d’images, leurs procédés de fabrication et leurs transformations,
En Histoire de l’art : Dégager d’une œuvre d’art, par l’observation ou l’écoute, ses principales caractéristiques formelles, les relier à des usages, ainsi qu’au contexte historique et culturel de sa création.
Application MICACO | Date : 21/11/2024