Département de la Seine-Saint-Denis | La Culture et l'Art au Collège
Edition | Année parcours : 2024
Informations sur le parcours à la date du : 23/11/2024
Peintures noires
Coordonnées du collège
- Collège affecté : Collège Lucie Aubrac
- Ville : LIVRY-GARGAN
- Classe : 6ème
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Coordonnées de la structure
- Nom de la structure : F93
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Coordonnées de la personne ressource
- Identité : Madame Camille Balaudé
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1. Articulation avec un processus de création :
Le parcours a un lien avec la création / le projet scientifique en cours ou à venir
Projets en cours ou à venir de l'intervenant.e menant le parcours
- Daria Sivacheva est doctorante en archéologie préhistorique à l’Université de Nanterre Paris X. Passée par l'Université Paris-Sorbonne (Paris IV) et le Muséum National d'Histoire Naturelle (MNHN), elle est spécialiste de l’étude des pierres taillées et de l'industrie lithique. Ses recherches actuelles portent sur les sociétés préhistoriques de la fin du Paléolithique récent et plus précisément sur l'évolution des comportements des populations qui ont peuplé le nord de la mer Noire. À partir des études des assemblages lithiques ou des collections de pierres taillées, ses travaux visent à interroger l'homogénéité des pratiques techniques des sociétés humaines pendant cette tranche de temps et à examiner les mécanismes évolutifs de leurs traditions techniques. Au-delà de ses recherches Daria participe régulièrement à diverses manifestations de médiation autour de l’archéologie préhistorique notamment au sein de son association « Archéodidacte » dont la mission est de rendre l’archéologie préhistoriques accessibles à tous, en créant des passerelles entre les archéologues professionnels et le grand public.
Articulation du parcours avec ces projets
- Dans le cadre du projet « Peintures noires » Daria, souhaite, montrer aux élèves que l'archéologie préhistorique, qui s'est développé initialement en France et qui couvre plus de 99% de l'histoire de l'humanité, porte encore beaucoup de confusions et a aujourd'hui un grand besoin de clarification. Durant ce parcours autour de l'art pariétal, qui servira de porte d'entrée dans l'univers du monde préhistorique, elle souhaite plus particulièrement introduire deux dimensions du métier d'archéologue : Montrer que dans son travail de recherche, derrières l’analyse des pierres taillées, il y a surtout l’histoire des humains qui les ont fabriqués. À travers des exercices variés, faire endosser aux élèves, le rôle d'archéologues afin de mener une enquête pour répondre à une question scientifique : quel est le rôle de l'art pariétal dans une société préhistorique ? Il va s’agir alors d’élaborer une démarche pour mieux comprendre ces pratiques artistiques en exploitant les données de terrain, qui dans les grottes peuvent prendre des formes multiples. Ensemble, ils établiront quelles sont les traces laissées par la production de l’art (pigments, traces d’outils de gravures ou d’application des pigments), mais aussi celles laissées par les autres activités menées dans la grotte (préparation des aliments, fabrication d’outils)
2. Construction du parcours (pendant le temps scolaire et avec une classe donnée)
Résumé en 4 lignes du parcours (thématique, contenu et objectifs du projet)
- Afin de lever le(s) mystère(s) de l’art des grottes, le groupe, accompagné par une archéologue, s’approchera au plus près de l’art du paléolithique. Tels des détectives, il va s’agir pour eux d’étudier, dans ces sites, les vestiges conservés afin de retracer toutes les actions, tous les gestes opérés par les artistes pour faire de la grotte un espace de représentation.
Accompagnement des enseignant.es
Co-construction du parcours avec les équipes pédagogiques : méthodologie (préparation, groupe de travail, présentation des intervenant.es, ressources mises à disposition des professeur.e.s)
- La co-construction du parcours avec l’équipe éducative, l’intervenante et le chargé de projets F93 se fera en amont mais aussi tout au long des séances. Rencontre avant le début du parcours pour élaborer un déroulé en fonction des thèmes, des spécificités du travail de recherche de l’intervenante, des attentes pédagogiques des enseignants et des attendus du projet. Ces rencontres seront également l’occasion de réfléchir aux supports les plus pertinents à utiliser lors des séances pour permettre aux élèves de s’approprier au mieux les enjeux du projet. L’ensemble sera ensuite adapté au fur et à mesure du parcours lors des points réguliers qui seront faits à l’issue de chaque étape. Enfin, l’ensemble des supports, mais aussi des suggestions faites par chacun pour enrichir le parcours, sera disponible dans un Padlet créé par le chargé de projets pour faciliter la communication et le partage des ressources entre les enseignants et l’intervenante.
L’intervenant.e a t-il.elle déjà mené un parcours CAC ou AGORA lors des éditions précédentes ? Si oui, précisez dans quel collège, la ville et ce qui motive le renouvellement de sa candidature.
- Daria a mené cette année le parcours « A propos des cavernes » au collège Jean Zay de Bondy . À la suite de cette première collaboration particulièrement réussie, nous proposons le renouvellement de sa candidature.
L'atelier construit et encadré par l'artiste / le scientifique se déroule sur une durée d'environ 20 heures
Les ateliers (environ 20h) doivent être détaillés et le nombre d’heures, pour chacun d’eux, indiqué
- Art pariétal ? (4H)
Après avoir sondé les représentations de la classe sur la préhistoire, l’intervenant montre aux collégiens comment on étudie des vestiges archéologiques. A l’échelle d’une grotte ornée, on relèvera notamment les points de concentration artistique, les correspondances stylistiques, les caractéristiques du support. A l’issue de cette entrée en matière, avec l’aide de textes et d’images le chercheur présentera certains sites remarquables (Lascaux, Chauvet...)
Terrain (10H)
Le groupe découvre « son terrain d’étude » : la grotte d'Arcy-sur-Cure, avec son bestiaire, qu’il va s’agir d’observer et d’analyser. Encadrée par l’intervenant, la classe groupe se prépare à la journée d’étude. Sur place, répartis en groupes, les élèves collectent, notent, analysent une série d’information qu’il va s’agir de comprendre. De retour au collège, la phase de traitement s’amorce : Comment ces représentations ont-elles été choisies ? Comment ont-elles été réalisées et pourquoi ? Quelle en est l’importance pour les sociétés préhistoriques ? Et que révèlent ces témoignages sur la vie des populations de l’époque ? Les premières réponses formulées seront confrontées aux données recueillies sur d’autres sites.
Expérimenter pour comprendre (6H)
L’expérimentation permettra aux élèves de se mettre « dans la peau des artistes préhistoriques ». Lors de cette 3ème phase, les collégiens devront tenter de reproduire une partie de la grotte ornée, en empruntant certaines techniques utilisées à l’époque (gravures, pigments mélangés avec de l'eau, réflexion sur les formes et les reliefs…) . Cette troisième phase permettra d’affiner les savoirs, en se confrontant aux problèmes concrets. Enfin vient le moment de synthétiser la démarche de recherche dans son ensemble pour permettre de partager les connaissances acquises par la classe.
Les sorties développent et mettent en perspective l'univers artistique / culturel de l'artiste / du scientifique et sa pratique
Les sorties (environ 10 heures) sont en lien direct avec le projet et permettent d’enrichir le contenu. Elles développent et mettent en perspective l’univers professionnel de l’intervenant.e et sa pratique.
- Trois sorties seront organisées pendant le parcours afin d’une part de visiter des lieux patrimoniaux en rapport avec la thématique abordée dans l’atelier et d’autre part de faire découvrir aux élèves un site remarquable le site d’Arcy-sur-Cure.
- Afin d’offrir aux élèves des repères chronologique plus large la classe visite la Grande Galerie de l’Évolution et notamment L'exposition située au niveau 2 dédiée aux modifications de l'Homme sur le monde vivant et son évolution.
- La classe découvre le Musée de Préhistoire d’Ile-de-France. Avec cette visite les élèves retracent les grandes étapes de la Préhistoire et de la Protohistoire de l’ensemble de l’Île-de-France, des premiers vestiges attestant de la présence de l’Homme (vers – 600 000 ans) à la fin de la période gauloise.
- Grottes d’Arcy-sur-Cure (sortie / terrain) : les élèves découvrent ce lieu qui abrite les plus anciennes peintures rupestres originales encore accessibles en France
L'analyse critique permet d'expliciter la démarche de l'artiste / du scientifique et le sens du projet
Les temps de réflexion / débats sont animés par les intervenant.e.s et les enseignant.e.s. Ils permettent aux élèves de développer leurs connaissances et d’approfondir une thématique. Ils offrent un espace de débat et de réflexivité sur le projet en cours. Des intervenant.e.s ponctuel.le.s peuvent également animer certaines séances.
- L’intervenante, la classe, les enseignants et le chargé de projets F93 se retrouvent à l’issue de la première séance au cours de laquelle l’intervenant a présenté à la classe des exemples remarquables de l’art pariétal. Ensemble ils présentent à la classe la démarche générale du projet et explicitent la répartition des rôles de chacun au sein de celui-ci. Chacun montre à la classe ce que sa propre expérience et expertise peut apporter à l’autre. Ils rappellent également que la démarche proposée est une démarche qui vise à accroître la connaissance historique de ce qu’était l’existence d’une grotte ornée dans une perspective ouverte mais rigoureuse. D’autre part un temps de concertation est prévu à l’issue de la journée de terrain sur le site d’Arcy sur Cure, lors duquel l’intervenante, le chargé de projet, l’enseignante et les élèves s’arrêtent pour évaluer l’évolution du projet et s’assurer que les objectifs sont clairs pour les élèves : Est-ce que les correspondances entre le terrain étudié et les connaissances en archéologie dispensées en classe paraissent logiques pour les élèves ou méritent-elles d’être retravaillées ? En plus de faire un bilan du travail en cours, ce moment permet aussi une projection de la restitution pour mieux la construire, déterminer les rôles de chacun, la matière à rassembler, garder, générer…
La restitution, temps de cloture du projet
Un temps de restitution/valorisation et un temps de clôture/bilan du parcours permettent de mettre en partage le travail mené et d'encourager la réflexivité.
- Un temps de clôture sera organisé au sein du collège, il s’articulera autour de 2 axes :
une petite publication, sorte d’état des lieux de la recherche de la classe, sera édité par F93 et distribué à la communauté éducative. Lors d’une journée de clôture, les élèves ayant participé au projet inviteront leurs camarades d’autres classes et leurs parents à la reproduction de peintures et techniques qui ont été abordées pendant l’année. Un fac-similé de grotte sera installé et recouvert petit à petit par les participants, de formes, de mains positives, de traces de doigts permettant à tous de partager l’expérience
Implication active des collégien.nes dans le processus (dimensions participative et inclusive)
Dimensions participative et inclusive (contenu du parcours et méthodologie)
- Le parcours « Peintures noires » est pensé sur le mode participatif puisqu’il implique un engagement actif des élèves à chacune de ses étapes. L’idée est d’abord d’ouvrir le dialogue sur la question de l’archéologie préhistorique. C’est le regard des élèves sur l’art pariétal qui orientera en partie la nature du parcours. Les séances du projet reposeront sur les contributions actives de chacun et chacune des élèves de la classe. C’est ce regard, guidé par l’intervenante et l’enseignante, qui sera recherché tout au long du processus de projet. Sans cette implication active du groupe dans la définition du parcours, ses contours, et ses modalités de mises en œuvre, la nature même de l’exercice aurait peu de sens.
Prise en compte de l’égalité Femmes-Hommes au sein du parcours (sous quelle forme, avec quels outils… ?)
La thématique de l'égalité femmes-hommes est-elle abordée au sein du parcours? De quelle(s) façon(s) la méthodologie de travail permet-elle de prendre en compte les enjeux de l'égalité femmes-hommes ?
- La thématique de l’égalité Femmes-Hommes, sera abordée dans le projet sous deux angles au moins. Tout d’abord, il s’agira de montrer que l’héritage des représentations établies au début de l'étude de la préhistoire, dans un XIXe siècle encore très puritain, et fortement empreint de sexisme scientifique sont fausses. En effet aucune preuve n'existerait pour justifier que les sociétés préhistoriques aient cultivé un antécédant sexiste. Grâce aux outils de recherche et des moyens d'investigation archéologiques on s'aperçoit que l'homme n'était pas forcément au centre de tout. D’autre part et plus largement les intervenantes, les enseignants et le chargé de projets F93 veilleront à rappeler l’importance de l’égal accès des hommes et des femmes aux carrières universitaires où les femmes restent sous-représentées.
Intégration de mesures liées à la transition écologique
Avez-vous mis en place, dans votre structure ou dans la mise en œuvre de vos projets des mesures spécifiques liées à la transition écologique ? Et comptez-vous mettre en place des mesures spécifiques dans le cadre du parcours déposé ?.
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F93 a mis en place depuis plusieurs années un certain nombre de mesures spécifiques liées à la transition écologique. L’équipe est invitée à réguler sa consommation en énergie en limitant le chauffage des bureaux à 19°C (et en limitant l’usage de la climatisation aux situations exceptionnelles de grandes chaleurs l’été). Les lumières et les ordinateurs sont par ailleurs systématiquement éteints quand ils ne sont pas utilisés. Le tri des déchets a par ailleurs été mis en place. Une sensibilisation aux bonnes pratiques numériques a également été menée afin de ne pas stocker ou envoyer des documents trop lourds et l’utilisation de l’ENT et des supports numériques sont privilégiés à l’impression de documents papiers quand cela n’est pas un frein pour l’apprentissage des élèves. Dans la mesure du possible, les sorties proposés aux classes s’effectuent en transports en commun, Les déplacements de l’équipe se font la grande majorité du temps en transports en commun, sauf quand ce n’est pas possible pour des raisons logistiques et/ou de planning. Dans le cadre des projets que nous menons, notamment lors des restitutions, nous privilégions le réemploi de matériaux que nous avons déjà utilisés et qui sont en réserve ou que nous trouvons dans les stocks des établissements. Enfin, nous intégrons dans notre programmation des projets consacrés à la transition écologique, que ce soit leur thème principal ou l’une de leurs thématiques secondaires."
Implication active de la famille dans le parcours
Les parents sont conviés à un temps de présentation et / ou aux temps forts du parcours (sorties, restitution…).
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Lors de la réunion parents-professeurs du premier trimestre une présentation du projet, conçue par F93, est mise en place afin de présenter aux parents le thème du projet, l’intervenant, les sorties qui seront menées par leurs enfants et les conditions de la restitution finale.
Le parcours propose des modalités innovantes visant à favoriser l’implication et la participation des familles.
- Après la première rencontre avec l’intervenante, les élèves sont invités à recueillir les expériences que leurs familles ont du lieu étudié afin d’enrichir leur imaginaire. A l’issue de l’atelier, les parents sont également conviés à participer à la restitution.
3. Co-construction du parcours
Liens avec les différentes entrées du projet d'établissement et notamment de son volet culturel ou de son volet lié à la citoyenneté. Les axes du projet d’établissement auxquels il est fait référence sont explicités et le parcours a pour ambition de s'ouvrir à l'ensemble de l'établissement (rencontres avec d'autres classes, liens avec d'autres projets, chantiers d'étape ...).
- Le parcours «Peintures Noires » rentre directement dans le volet du projet d’établissement « construire une démarche de projet ». Dans l’axe 1 « Faire méthode des projets » l’établissement fait part de son souhait de « fonder l’année scolaire sur des projets d’équipe, des projets de classe, des projets de discipline ou des projets co-financés ». Le projet , est transversal, puisqu’il s’agit à la fois d’un projet de classe : les élèves ainsi que leur enseignant principal (M. Grenouillet) et d’autres membres de l’équipe éducative (Mme Boulbaroud- professer documentaliste) participeront pleinement au projet dans toutes ses dimensions (séance en classe, encadrement et accompagnement des sorties, restitutions et temps de réflexions). Le projet rejoint aussi l’axe « travailler en commun, la transversalité des contenus, s’inscrire au cœur de la continuité éducative ».
Enfin l’axe 2 « partager les méthodes et les ressources » sera aussi sollicité, puisque le projet utilisera les ressources et compétences internes au collège (utilisation de l’ENT, présentation à d’autres classes du parcours) et valorisera l’ensemble du travail d’équipe par le biais de la restitution.
L’Espace Numérique de Travail du collège, est-il utilisé pour faciliter l’organisation du projet et/ou comme support de communication et de valorisation ?
- L'espace numérique de travail sera utilisé comme un centre de ressources archéologiques virtuel. En amont, le chargé de projets et l'enseignant créent une page dédiée intitulée « Peintures noires », accessible à tous les élèves et à l'équipe enseignante. Un grand nombre de données y sont transféré au fur et à mesure du parcours : hypothèse de départ, relevé pariétal, plan de déchiffrement des parois, photographies, relevés dessinés… Durant chaque séance en classe, les élèves se réfèrent à ces documents de travail et y ajoutent leurs commentaires. Après chaque visite, les élèves téléchargent à leur tour photographies et vidéos, notes, mesures et conclusions. À l'issue du parcours, chaque classe a à sa disposition toutes les ressources nécessaires pour mettre au point la restitution.
Les enseignant.es souhaitent-ils.elles s’investir dans les médias départementaux pour rendre compte des expériences et productions des élèves ?
Liens du parcours avec les enseignements, les objectifs pédagogiques (par discipline)
- Le parcours “A propos des cavernes”, offre de nombreux liens avec les cycles 3 et 4 d’enseignement notamment celui d’Histoire :
• Tout d’abord avec la compétence : “Se repérer dans le temps : construire des repères historiques” : - ordonner des faits les uns par rapport aux autres et les situer dans une époque où une période donnée ; - manipuler et réinvestir le repère historique dans différents contextes. Domaines du socle 1, 2, 3.
• Le parcours permet également aux élèves d’aborder concrètement la compétence “Comprendre un document” : - identifier le document et savoir pourquoi il doit être identifié ; - extraire des informations pertinentes pour répondre à une question ; - savoir que le document exprime un point de vue, identifier et questionner le sens implicite d’un document ; - confronter un document à ce qu’on peut connaître par ailleurs du sujet étudié; - utiliser ses connaissances pour expliciter, expliquer le document et exercer son esprit critique. Domaines du socle : 1, 2.
• Surtout, le parcours mettra les élèves en situation de chercheurs quand ils devront “Raisonner, justifier une démarche et les choix effectués” : - poser des questions, se poser des questions ; - formuler des hypothèses ; - vérifier ; - justifier ; - s’exprimer à l’oral pour penser, communiquer et échanger. Domaines du socle 1, 2, 5
• Enfin, tout au long du parcours les élèves seront amenés à : “Coopérer et mutualiser” : - organiser son travail dans le cadre d’un groupe pour élaborer une tâche commune et/ou une production collective et mettre à la disposition des autres ses compétences et ses connaissances ; - discuter, expliquer, confronter ses représentations, argumenter pour défendre ses choix ; - négocier une solution commune si une production collective est demandée. Domaines du socle 2, 3.
En Arts plastiques : - apprendre les différentes catégories d’images, leurs procédés de fabrication et leurs transformations,
En Histoire de l’art : Dégager d’une œuvre d’art, par l’observation ou l’écoute, ses principales caractéristiques formelles, les relier à des usages, ainsi qu’au contexte historique et culturel de sa création.
Application MICACO | Date : 23/11/2024