Département de la Seine-Saint-Denis | La Culture et l'Art au Collège

Edition | Année parcours : 2025

Informations sur le parcours à la date du : 03/07/2025

Expression directe

Coordonnées du collège
  • Collège affecté : Collège Aime et Eugenie Cotton
  • Ville : LE BLANC-MESNIL
  • Classe : 4ème 
Coordonnées de la structure
  • Nom de la structure : F93
Coordonnées de la personne ressource
  • Identité : Madame Camille Balaudé

1. Articulation avec un processus de création :

Le parcours a un lien avec la création / le projet scientifique en cours ou à venir

Projets en cours ou à venir de l'intervenant.e et de l'intervenant.e supplémentaire
  • Pour ce projet autour des cahiers de doléances écrits lors du mouvement des « gilets jaunes » en 2019, F93 a souhaité proposer à la classe une double expertise en réunissant deux disciplines, l’histoire et la sociologie politique. Le binôme d’intervenants ainsi constitué se composera de Guillaume Mazeau, historien, et de Sophie Lamotte, sociologue. Guillaume Mazeau est Maître de conférences en Histoire moderne et contemporaine à l’Université Paris-1 Panthéon Sorbonne depuis 2009, membre du Centre d’Histoire du XIXème siècle et membre de l’Institut d’Histoire de la Révolution française. Ses recherches portent principalement sur la Révolution française et sur les usages sociaux de cette période de l’Histoire. Il a publié de nombreux ouvrages sur la question, notamment, L’Histoire comme émancipation (avec Laurence de Cock et Mathilde Larrère), Agone, 2019 ; Pour quoi faire la Révolution, (en collaboration avec Jean-Luc Chappey, Bernard Gainot, Frédéric Régent et Pierre Serna), Agone, 2012 ou encore Le Bain de l’histoire. Charlotte Corday et l’attentat contre Marat (1793-2009), Champ Vallon, 2009. Sophie Lamotte est sociologue, enseignante chercheuse et responsable du Master EMAS (Événementiel Médiation des Arts et des Sciences) au sein de l’Université de Versailles-Saint-Quentin/Paris-Saclay. Elle est titulaire d’un DEA de Sociologie du pouvoir politique et est actuellement doctorante en sociologie politique au sein du Laboratoire Printemps de la même université. Depuis de nombreuses années, ses recherches portent sur la question de l’implication des acteurs populaires dans l’espace public, notamment à travers les structures associatives.
Articulation du parcours avec les projets de l'intervenant.e et de l'intervenant.e supplémentaire
  • Guillaume Mazeau, historien de la Révolution française, a bien sûr une profonde connaissance des cahiers de doléances rédigés lors de cette période de l’Histoire, mais il s’intéresse également à l’héritage de ces revendications dans l’imaginaire des citoyens français. À ce titre, il fait partie d’un collectif d’universitaires qui demande une libre consultation des cahiers rédigés lors du mouvement des « gilets jaunes » afin de permettre l’étude transdisciplinaire de ce corpus. Cette double casquette lui permettra d’articuler aisément l’analyse des cahiers de doléances de 2019 et l’étude de ceux de la période révolutionnaire. Sophie Lamotte s’intéresse depuis de longues années aux acteurs populaires et à l’expression politique de leur engagement dans l’espace public, notamment à travers la question de la parentalité. Elle a ainsi travaillé pour un projet de recherche avec des associations de mères de quartiers populaires et est très attentive à toutes les expressions d’engagement citoyen dans l’espace public. Elle est donc très sensible à la question des cahiers citoyens qui ont été rédigés lors du mouvement des gilets jaunes et a à cœur de replacer ces textes dans un contexte plus large d’engagement populaire. Elle souhaite ainsi faire réfléchir les élèves sur toutes les formes que peut prendre l’engagement citoyen.

2. Construction du parcours (pendant le temps scolaire et avec une classe donnée)

Résumé en 4 lignes du parcours (thématique, contenu et objectifs du projet)
  • Après le mouvement des « gilets jaunes » en 2019, vingt mille cahiers de doléances ont été déposés en mairie. Les politologues font partie des scientifiques qui essaient d’en analyser le contenu. L’objectif de cette initiative consiste à s’immerger dans cette approche à partir d’un corpus de revendications rédigées par des habitants de la Seine-Saint-Denis pour s’interroger sur leur actualité.

Accompagnement des enseignant.es

Co-construction du parcours avec les équipes pédagogiques : méthodologie (préparation, groupe de travail, présentation des intervenant.es, ressources mises à disposition des professeur.e.s)
  • La co-construction du parcours “ Expression directe ” avec l’équipe éducative, les intervenants et la chargée de projets F93 se fera en amont mais aussi tout au long des séances. Ils se rencontreront avant le début du parcours pour élaborer un déroulé en fonction des thèmes et du travail de recherche des intervenants, des attentes pédagogiques des enseignants et des attendus du projet. Cette rencontre sera également l’occasion de réfléchir aux supports les plus pertinents à utiliser lors des séances pour permettre aux élèves de s’approprier les enjeux du projet. L’ensemble sera ensuite adapté au fur et à mesure du parcours lors des points réguliers qui seront faits à l’issue de chaque étape. Enfin, l’ensemble des supports, mais aussi des suggestions faites par chacun pour enrichir le parcours, sera disponible dans un padlet créé par la chargée de projets pour faciliter la communication avec les enseignants et les intervenants.
L’intervenant.e (ou les intervenant.es) a/ont t-il.s/t-elle.s déjà mené un parcours CAC ou AGORA lors des éditions précédentes ? Si oui, précisez dans quel.s collège.s, la/les ville.s et ce qui motive le renouvellement de sa/de leur candidature.
  • Non, Guillaume Mazeau et Sophie Lamotte n’ont jamais participé à un parcours CAC ou Agora, c’est leur première participation dans le cadre du dispositif.

L'atelier construit et encadré par l'artiste / le scientifique se déroule sur une durée d'environ 20 heures

Les ateliers (environ 20h) doivent être détaillés et le nombre d’heures, pour chacun d’eux, indiqué. Merci de préciser la répartition horaire par intervenant.e lorsqu'il y en a deux.
  • Plongée dans les doléances 8h Le parcours démarre, aux Archives départementales, par une plongée dans une partie des cahiers de doléances issus du 93 que le politologue a préalablement identifiés. La recherche des élèves porte sur les thèmes récurrents qui y sont abordés et sur la manière dont ces colères, ces histoires de vie, ces préoccupations et ces propositions sont formulées. De retour en classe, ils en établissent ainsi une première liste et discutent avec l’intervenant des réalités que cela recouvre et, très souvent, dénonce. À l’aide de travaux de recherche ayant pour objet les cahiers citoyens d’autres départements, la classe interroge la spécificité des revendications de la Seine-Saint-Denis et sa réalité et propose des hypothèses qui peuvent l’expliquer. 2019/1789 6h Avec le second intervenant, historien, et après cette première étude des cahiers de doléances de 2019, les élèves, forts de ce qu’ils ont analysé, se penchent sur l’emprunt revendiqué du terme « cahier de doléances » au mouvement révolutionnaire de 1789. Vocabulaire, gestes, symboles sont passés à ce crible historique et reliés aux nombreuses références présentes dans les cahiers ou visibles dans les reportages et les documentaires consacrés aux « gilets jaunes ». C’est l’occasion pour le groupe de s’interroger sur cet héritage, réel ou supposé, et sur la puissance mémorielle que cet évènement fondateur continue de charrier. Nos doléances 6h Après avoir exploré les cahiers de doléances et les avoir mis en perspective avec des textes issus d’autres territoires et d’autres époques, la classe s’attelle à la rédaction de ses propres doléances, de ses espoirs et de ses revendications. Les élèves s’attachent à les ancrer dans leur quotidien, mais s’autorisent aussi à imaginer des situations plus éloignées d’elles et eux et à rêver à ce que pourrait être leur cahier de doléances 2026. Ils se préparent également à en faire une restitution orale et réfléchissent à mettre en scène leurs demandes pour un public invité.

Les sorties développent et mettent en perspective l'univers artistique / culturel de l'artiste / du scientifique et sa pratique

Les sorties (environ 10 heures) sont en lien direct avec le projet et permettent d’enrichir le contenu. Elles développent et mettent en perspective l’univers professionnel de l’intervenant.e et sa pratique.
  • Deux sorties, en plus des séances « hors les murs » aux Archives départementales, viendront ponctuer le parcours « Expression directe ». Les élèves se rendront tout d’abord au Musée Carnavalet-Histoire de Paris pour une visite-atelier intitulée « Journal d’un révolutionnaire » où, après un parcours dans les salles, les élèves seront amenés à inventer leur journal personnel en se mettant dans la peau d'un citoyen qui traverse la Révolution française. Ils s’appuieront pour cela sur des reproductions de lettres, de correspondances, de mémoires, de journaux personnels de l’époque révolutionnaire. La classe se rendra ensuite à la Contemporaine, à Nanterre, à la fois bibliothèque, centre d’archives et musée consacré à l’histoire contemporaine qui œuvre à interroger comment s’écrit l'Histoire, notamment à travers son “Atelier de l'Histoire”. Les élèves y suivront une visite guidée qui s’articulent autour de grandes questions abordées également dans l’atelier. Comment et à partir de quelles pièces s’écrit l’Histoire du temps présent ? Comment en est-on venu à s’intéresser à des sources jusqu’alors négligées - presse, œuvres graphiques, tracts, photographies, affiches, audiovisuel, web ? Pourquoi s’attache-t-on à préserver les traces de notre histoire personnelle ou familiale ? Pourquoi et comment transmettre ces matériaux aux générations suivantes ? Autant de questions qui feront écho au sujet des cahiers de doléances qui est au cœur du parcours.

L'analyse critique permet d'expliciter la démarche de l'artiste / du scientifique et le sens du projet

Les temps de réflexion / débats sont animés par les intervenant.e.s et les enseignant.e.s. Ils permettent aux élèves de développer leurs connaissances et d’approfondir une thématique. Ils offrent un espace de débat et de réflexivité sur le projet en cours. Des intervenant.e.s ponctuel.le.s peuvent également animer certaines séances.
  • Lors d’une séance en classe, en ouverture du parcours, les intervenants, la chargée de projets F93 et l’équipe enseignante sont réunis pour une première rencontre avec les élèves afin de discuter des objectifs du parcours, des sorties qui auront lieu pendant l’année et des attendus pour la restitution. C’est l’occasion pour les intervenants de se livrer à une présentation fine de leur métier et de leur discipline : sujets de recherches, méthodologie pour étudier les archives sur lesquelles elle travaille. C’est aussi l’occasion de présenter les objectifs du parcours qui mêle à une approche de sciences politiques une dimension historique et même mémorielle. À l’issue de la séance « hors les murs » aux Archives et des sorties, d’autres temps de réflexion sont organisés afin de bien remettre en perspective les différents éléments vus avec les attendus de l’atelier et de la restitution.

La restitution, temps de cloture du projet

Un temps de restitution/valorisation et un temps de clôture/bilan du parcours permettent de mettre en partage le travail mené et d'encourager la réflexivité.
  • À l’issue du parcours, les classes inscrites se retrouvent pour une restitution orale et théâtralisée de leurs cahiers de doléances. Ils invitent d’autres classes, l’équipe éducative et les parents à cette représentation (lieu à définir).

Implication active des collégien.nes dans le processus (dimensions participative et inclusive)

Dimensions participative et inclusive (contenu du parcours et méthodologie)
  • Comme son nom l’indique bien, le parcours « Expression directe », en revenant sur les revendications exprimées en Seine-Saint-Denis lors du mouvement des gilets jaunes en 2019, entend ouvrir un espace de libre expression pour les élèves qui vont y participer. La troisième et dernière phase de l’atelier sera en effet entièrement consacrée à la rédaction des propres doléances des élèves qui participeront ainsi directement et à tous les niveaux à la production finale qui sera présentée lors de la restitution et qui réunira des revendications ou des rêves faits par chacune et chacun.

Prise en compte de l’égalité Femmes-Hommes au sein du parcours (sous quelle forme, avec quels outils… ?)

La thématique de l'égalité femmes-hommes est-elle abordée au sein du parcours? De quelle(s) façon(s) la méthodologie de travail permet-elle de prendre en compte les enjeux de l'égalité femmes-hommes ?
  • Centré sur les revendications émises par les « gilets jaunes » séquano-dyonisiens, le parcours « Expression directe » aura à cœur d’analyser ces textes avec différentes grilles de lecture propres aux sciences humaines, histoire comme sciences politiques, où les gender studies sont importantes depuis de nombreuses années. Au sein des doléances, celles écrites par des femmes, notamment par des mères élevant seules leurs enfants, ont en effet abordé des questions spécifiques qui seront étudiées au prisme du genre. Cette attention se retrouvera également lors de la dernière phase du parcours, lorsque les élèves rédigeront leurs propres revendications.

Intégration de mesures liées à la transition écologique

Avez-vous mis en place, dans votre structure ou dans la mise en œuvre de vos projets des mesures spécifiques liées à la transition écologique ? Et comptez-vous mettre en place des mesures spécifiques dans le cadre du parcours déposé ?.
  • F93 a mis en place depuis plusieurs années un certain nombre de mesures spécifiques liées à la transition écologique. L’équipe est invitée à réguler sa consommation en énergie en limitant le chauffage des bureaux à 19°C (et en limitant l’usage de la climatisation aux situations exceptionnelles de grandes chaleurs l’été). Les lumières et les ordinateurs sont par ailleurs systématiquement éteints quand ils ne sont pas utilisés. Le tri des déchets a par ailleurs été mis en place. Une sensibilisation aux bonnes pratiques numériques a également été menée afin de ne pas stocker ou envoyer de documents trop lourds. Les déplacements de l’équipe se font la grande majorité du temps en transports en commun, sauf quand ce n’est pas possible pour des raisons logistiques et/ou de planning. Dans le cadre des projets que nous menons, dans la mesure du possible, les sorties proposées aux classes s’effectuent en transports en commun, et l’utilisation de l’ENT et des supports numériques sont privilégiés à l’impression de documents papier quand cela n’est pas un frein pour l’apprentissage des élèves. Lors des restitutions, nous privilégions également le réemploi de matériaux que nous avons déjà utilisés et qui sont en réserve ou que nous trouvons dans les stocks des établissements. Enfin, nous intégrons dans notre programmation des projets consacrés à la transition écologique, que ce soit leur thème principal (deux cette année) ou l’une de leurs thématiques secondaires.

Implication active de la famille dans le parcours

Les parents sont conviés à un temps de présentation et / ou aux temps forts du parcours (sorties, restitution…).
  • Avant le début du projet, les parents seront informés et conviés à une réunion de présentation du parcours organisée par F93 et l'équipe pédagogique. Ils pourront y trouver toutes les informations nécessaires s’ils souhaitent s'impliquer dans le parcours proposé à leurs enfants. En effet, les parents et la famille de manière générale seront invités à participer aux sorties et à la restitution du parcours.
Le parcours propose des modalités innovantes visant à favoriser l’implication et la participation des familles.
  • Le mouvement des « gilets jaunes » est récent, mais pourra au départ paraître lointain et éloigné aux élèves qui étaient de jeunes enfants en 2019. Dans la première phase du projet, l’exploration des revendications issues du 93 sera ainsi l’occasion, pour l’intervenante, d’encourager les jeunes à questionner leur famille à ce sujet : leurs parents se souviennent-ils de ce mouvement ? Des revendications exprimées ? Qu’en avaient-ils pensé ?...

3. Co-construction du parcours

Liens avec les différentes entrées du projet d'établissement et notamment de son volet culturel ou de son volet lié à la citoyenneté. Les axes du projet d’établissement auxquels il est fait référence sont explicités et le parcours a pour ambition de s'ouvrir à l'ensemble de l'établissement (rencontres avec d'autres classes, liens avec d'autres projets, chantiers d'étape ...).
  • Le projet d’établissement du collège Cotton peut être lié au projet « Expression directe » sur plusieurs aspects : - Familiariser les élèves avec l’histoire (même très récente !) de la Seine-Saint-Denis et la fabrique de récits. - Créer des approches et des liens nouveaux entre les différents moments historiques pour montrer aux élèves la cohérence de ce qu’ils apprennent et tisser des liens solides dans l’équipe pédagogique. - Lutter contre les stéréotypes souvent très présents dans l’esprit des adolescents à travers des faits historiques faisant preuve de discrimination. - Ancrer les élèves dans la citoyenneté à plusieurs échelles grâce au travail sur l’évolution de la société concernant certains stigmates, certaines valeurs politiques…  
L’Espace Numérique de Travail du collège, est-il utilisé pour faciliter l’organisation du projet et/ou comme support de communication et de valorisation ?
  • L’espace numérique de travail du collège Cotton sera utilisé, dans un premier temps, pour communiquer le planning des interventions et des sorties. Ensuite, un espace de stockage et de partage de fichiers sera créé et alimenté au fur et mesure de l’avancée de la recherche. L’ensemble des documents qui s’y trouvera sera ainsi consultable à tout moment par tous les acteurs du projet. Ce « micro centre d’archives » assurera ainsi la disponibilité des ressources pour chaque élève. Il permettra également aux intervenants d’accompagner méthodologiquement le groupe à distance. Par ailleurs, un onglet « Expression directe » sera ouvert. Des points d’étape du parcours y seront régulièrement publiés par la classe, afin de permettre à la communauté éducative et aux partenaires du projet de suivre l’évolution de la recherche.
Les enseignant.es souhaitent-ils.elles s’investir dans les médias départementaux pour rendre compte des expériences et productions des élèves ?
  • OUI
Liens du parcours avec les enseignements, les objectifs pédagogiques (par discipline)
  • Le projet « Expression directe » s’appuiera sur les connaissances et compétences associées au cycle 4 d’« Histoire et Géographie ». Plus particulièrement, les élèves seront amenés à : • Se repérer dans le temps : construire des repères historiques - Situer un fait dans une époque ou une période donnée ; Mettre en relation des faits d’une époque ou d’une période donnée ; Identifier des continuités et des ruptures chronologiques pour s’approprier la périodisation de l’histoire. • Raisonner, justifier une démarche et les choix effectués ; Poser des questions, se poser des questions à propos de situations historiques ou/et géographiques ; Construire des hypothèses d’interprétation de phénomènes historiques ou géographiques ; Vérifier des données et des sources ; Justifier une démarche, une interprétation. • Analyser et comprendre un document : Extraire des informations pertinentes pour répondre à une question portant sur un document ou plusieurs documents, les classer, les hiérarchiser ; Confronter un document à ce qu’on peut connaître par ailleurs du sujet étudié ; Utiliser ses connaissances pour expliciter, expliquer le document et exercer son esprit critique. Et pour le français : Participer de manière constructive à des échanges oraux : construire des relations avec autrui, une conversation, une situation de recherche Lire des textes non littéraires, des images et des documents composites : savoir décrire et analyser l'image fixe et mobile Adopter des stratégies et des procédures d'écriture efficaces : Prendre en compte le destinataire, les caractéristiques de son genre et le support d'écriture - organiser l'écrit en fonction des règles propres au genre – Respecter les normes de l'écrit Enrichir et structurer le lexique

Application MICACO | Date : 03/07/2025